Les ressources du futur

Livre 412 pages, 12 chapitres, 112 figures, 9 annexes et 6 études de cas industriels.

Les défis planétaires actuels du climat, de l’alimentation, de l’énergie, et des matériaux, dus à l’explosion démographique, nous obligent à reconsidérer la nature en arrêtant de piller ses réserves, en la traitant avec respect, et en s’intéressant à la biomasse.
On sait que les plantes et le bois pourront toujours fournir des quantités considérables de matière, et beaucoup d’énergie. Mais il nous faut comprendre le fonctionnement de notre planète, ses échanges d’énergie et de matière, ses cycles du carbone, de l’azote, et de l’eau.
Après ce constat de situation, une structuration à trois niveaux des ressources végétales (massif, histologique, et moléculaire) est présentée dans ce livre, ainsi que la déconstruction et la construction des matières organiques bio-sourcées (Cycle en M). La notion de filière, valorisant les produits des cultures, des forêts, de la mer, et des déchets, peut alors être expliquée.
Une analyse détaillée des filières traditionnelles de l’agriculture, du bois et des fibres est ensuite entreprise, suivie de celle des filières biomoléculaires de l’énergie et des matériaux. Leur viabilité économique et écologique et leurs impacts territoriaux sont enfin examinés, à la lumière de plusieurs études de cas.
Dans une démarche transversale nouvelle, ce livre vise en définitive à démystifier le futur système de production des ressources issues du végétal, en présentant notamment les bases méthodologiques de sa modélisation.

Auteur :  Claude SOURISSE

Ingénieur INPG et Docteur en automatique, tout d’abord chercheur à l’Institut Battelle de Genève, puis Ingénieur à la Télémécanique, devenu ensuite Journaliste industriel et communicant, Claude SOURISSE a lancé depuis 2012 au sein de l’Université Intercommunale du Grésivaudan une série de cycles de conférences, initialement consacrées aux ressources du futur issues du monde vivant.
Avec les dirigeants de l’Association La Passion du Bois et en coopération avec l’UICG, il a ensuite fondé l’Association Covabis, dédiée à la Valorisation de la Biomasse par l’Information et la Science.